La cathédrale de Rouen est trop grande pour que l’on puisse la regarder en face, l’embrasser d’un seul coup d’œil. Alors on se détourne pour mieux y retourner. On louche et on attrape son reflet à travers les vitraux de la tour de l’Horloge, dans les flaques d’eau (ici, parfois, il pleut) ou sur les capots des voitures. Pas d’effets ou de retouches ici. Juste une prise de vue directe avec l’aide de la pluie et du verre ancestral et tannique des fenêtres rouennaises. Rendre la Monet de la pièce.