On a vu des trains déchirer des horizons purs et l’homme imposer sa loi de vainqueur à la nature.
En regardant avec les yeux de la perte, car il faut savoir perdre, on perçoit alors les cycles s’inverser.
On discerne le passage de l’industrie au mouvement brut et vierge de notre naissance fragile.
On observe l’absolue et nécessaire douceur d’un regard embrasser la douleur bleue de l’histoire.